HAN SIEON

( feat. oh sehun )

nom et prénom : han sieon surnoms : smith lieu et date de naissance : 14.02.1995 orientation sexuelle : à ce stade il n'est plus sûr d'aimer les femmes situation sociale : aisée occupation : hackeur à ses heures perdues peurs : stalker, le noir, les espaces clos, les femmes,   groupe : touriste

caractère & anecdotes. c’est peut être que je regrette de lui avoir fait subir de telles choses avec du recul. ces violents plaisirs ont une fin violente comme le dit si bien shakespeare. et une telle passion faisait trembler mon coeur à l’époque ; le fait que quelqu’un dans cette histoire soit allé plus loin que moi dans ces fantasmes de devenir sien et se soit heurté si douloureusement à la réalité m’a doucement fait réaliser l’atrocité de la chose ; il y a des amours qui existent pour être conjugués au singulier uniquement. autrement un arrière goût amer vient vous hanter pour le restant de vos jours. ô, je savais tout de lui ; de l’heure à laquelle il se levait le matin au moment fatidique où ses paupières venaient s’embrasser pour un sommeil réparateur, je connaissais ses habitudes par coeur, la façon dont il fronçait ses sourcils quand il ne comprenait pas quelque chose, son attirance pour les vagues, sa couleur préférée, sa plaque d’immatriculation, son digicode pour la porte d’entrée, son chien appelé pluto. premièrement pour commencer, il ne s’appelle pas smith, il s’appelle sieon, han sieon et vous ne savez absolument rien. tout a commencé en 2018 quand il est venu s’installer à suwon pour terminer ses deux dernières années de master en informatique options théâtre, mais là déjà sa vie n’était aussi paisible qu’il le prétendait. sieon avait beaucoup d’amis malgré tout dans cette nouvelle université, il était le genre de personnes à se faire des amis plutôt facilement. auparavant il faisait partie d’une des trois meilleures université de seoul et la raison pour laquelle il est parti après trois années passées là-bas se résume à un seul prénom ; areum, son prénom est une parfaite description de la personne de l’extérieur ; c’était une très belle jeune femme, si elle l’avait souhaité elle aurait pu attraper le coeur de beaucoup d’étudiants mais elle ne s’intéressait qu’à sieon. étonnamment une jeune femme aussi sociable qu’elle n’avait jamais osé adresser la parole à sieon, ils partageaient quelques cours en commun, se croisaient par une inadvertance choisie par la demoiselle mais le silence demeurait jusqu’à ce qu’ils se retrouvent associés à un travail de groupe de deux semaines. c’est peut être là que cet amour innocent s’est transformé en obsession. des jours sont passés à venir travailler chez sieon après les cours, parce que c’était plus grand pour accueillir quatre personnes. si au départ tout se passait très bien, areum a commencé à s’absenter prétendant aller au toilettes pour finalement aller dans sa chambre ; ainsi on se demande comment une curiosité paraissant si douce et innocente a pu se transformer d’une telle façon. un site privé a été crée sur le deep web, un autre parmi les autres excentricités du côté échoué de l’iceberg. au départ ce n’était que des photos de lui en train d’attendre le bus, à la cafétéria, ou dans le campus en train de discuter avec ses amis. et puis des cameras ont étés méticuleusement installées dans la chambre de sieon. c’était vers la fin de ce travail en groupe justement. des caméras dans la chambre, des caméras dans la salle de bain, des caméras dans le salon, dans la cuisine. si petites qu’il ne s’était jamais douté de leur présence. des personnes ont fini par trouver ce site en premier, avant moi, des personnes qui nourrit de toutes informations au sujet du jeune homme ont fini par encourager areum dans sa poursuite à l’amour. et c’est de cette façon qu’elle a finalement osé lui parler bien après ce travail en groupe. une douce amitié en résultera plus tard, et elle souhaitera plus petit à petit ; plus de conversation, plus de sorties ensemble, plus toujours plus jusqu’à ce que tout cela devienne trop. décembre 2017 fin de trois années dans cette université. c’était précisément le jour de noël, noël que sieon avait passé avec ses amis à défaut de pouvoir le passer avec ses parents qui étaient beaucoup trop loin, ses parents sont originaire de jeju tout comme lui mais depuis le collège il a toujours vécu chez ses grands parents à seoul. tout s’était bien passé, un bon restaurant, une heure ou deux à l’arcade, puis un bon karaoké un peu alcoolisé, tout le monde devait rentrer séparément après ça mais areum a prétendu perdre ses clés au dernier moment et a demandé à rester chez sieon. (tw suicide) cela faisait parti de son plan depuis des semaines, elle avait même étudié de très près ses expressions au miroir pour avoir l’air crédible une fois le moment venu. elle était si belle dans cette robe bleue nuit et ses cheveux colorés d’un rouge orangé. elle s’était faite belle juste pour lui ce soir là parce qu’elle avait quelque chose d’important à lui confesser. noël était généralement fêté en couple en corée et la soirée se terminait bien dans son imagination, la soirée se terminait avec l’homme de ses rêves et elle allait pouvoir lui confesser son amour. arrivé au moment fatidique elle enlève ses talons à l’entrée et tombe volontairement dans ses bras. elle prétendait toute la soirée avoir trop bu mais elle était tout à fait consciente et maître de ses mouvements. elle tentera une première fois de l’embrasser mais il la repoussera une première fois. et puis un peu plus tard elle recommencera mais se heurtera également à un échec. les gestes ne suffisant peut être pas elle lui dira avec des mots dans un désespoir immense de le faire changer d’avis mais il la repoussera à nouveau. la douceur des mots de sieon malgré tout n’atténuera pas la douleur qui secouera son coeur et qui entraînera un geste aussi égoïste. la jeune femme se précipitera dans la cuisine avant de revenir avec un coeur changé d’amertume. « tu sais je me suis faite belle pour toi » elle pointe le couteau vers lui puis vers elle alors que les larmes coulent déjà le long de ses joues de porcelaine. ses mains tremblent légèrement maintenant que la situation ne ressemble à rien à ses fantaisies. « tu pourrais m’aimer si tu le voulais vraiment » un sourire triste se dessine sur ses lèvres l’espace d’un instant « m-moi je passe mon temps à t’aimer si fort... si fort que c’est presque une religion » elle pointe à nouveau le couteau vers lui « pourquoi est-ce que tu ne m’aimes pas ? dis moi et je... j-je suis sûre que je peux changer ce qui ne va pas... je suis sûre que je peux changer ! » sa voix se brise tout comme ses pensées alors qu’elle tourne une dernière fois le couteau vers elle, pointant son abdomen exerçant une légère pression « je... je vais le faire, je te jure que je vais le faire » et malgré les paroles du jeune homme, malgré le fait qu’il lui dise tout ce qu’elle avait voulu entendre elle exerce une pression plus forte et le sang se répand alors très vite brisant l’harmonie de cette pièce si bien rangée. sieon tentera de stopper l’hémorragie le temps que l’ambulance arrive. elle tiendra jusqu’à l’hôpital, mais dans le bloc opératoire son état ne se stabilisera pas et ils finiront par la perdre. sieon quant à lui passera le reste de cette soirée avec la police chez lui et pendant quelques jours de plus. des nuits sans réel sommeil. la trouvant rapidement les caméras, retraçant alors le chemin de la jeune femme, prouvant l’innocence du concerné presque au même moment où j’ai eu connaissance de ce site. janvier 2018, d'une balade innocente sur le deep web, il y avait des photos de lui, des vidéos d’audition pour des séries auxquelles il n’aura finalement pas fait parti du casting, des vidéos plutôt drôles, puis des vidéos qu’il n’avait visiblement pas filmées, son numéro de téléphone, son adresse mail. ô au départ je ne me serai jamais aventurée plus profondément dans tout ça. mais il y avait quelque chose d’assez addictif dans le fait de connaître quelqu’un de manière aussi personnelle, peut être le connaître plus qu’il ne se connait. mon obsession me poussera à hacker le système informatique de l’université pour le faire venir jusqu’à suwon pour visiter l’université. un geste plutôt audacieux mais qui a porté ses fruits. j’étais au courant à l’époque de l’existence et du décès d’areum. pour moi elle ne représentait qu’un plan échoué, tout le contraire de ce que moi j’étais sur le point de faire. elle avait perdu son eurydice et il m’appartiendrait désormais. ô c’était le moment parfait pour lui de quitter seoul. les étudiants parlaient probablement entre eux et même si ce n’était pas de sa faute il n’était plus tout à fait à sa place. je me suis portée volontaire pour être son guide le jour des portes ouvertes. j’ai essayé d’être son amie prétendant ne rien connaître de lui et le rassurer même si j’étais bien la seule à tout connaître de lui dans cette ville. l’affaire ne s’était pas ébruitée au delà de son université à seoul. j’ai beaucoup discuté avec lui par sms après ces portes ouvertes, lui disant qu’il devait absolument venir à suwon. il a fini par venir pour la rentrée de mars, et le site a été supprimé depuis sur le deep web. il était là, c’était plus que je ne pouvais l’espérer ; et arrivée à ce stade j’ai essayé de le joindre anonymement pour savoir ce qu’il pensait de moi. tout recommencer depuis le début. devenir amie avec lui, prétendre avoir trop honte de lui parler en personne, l’orienter, lui dire qu’il allait plutôt bien avec iseul, autrement dit moi, en cas d’échec il ne saurait jamais que c’était moi. c’était comme jouer aux jeux vidéos avec plusieurs vies sans prendre de risques. il y avait quelque chose d’excitant dans le fait de ne jamais vraiment échouer. et juin était arrivé en un claquement de doigts, j’avais noyé mon temps dans son existence sans rien faire de la mienne à part contempler son sourire revenir. ô, je n’avais pas vu son sourire depuis des mois, je ne l’avais même pas vu dans une réalité que je pouvais toucher ; il ne s’agissait que d’une vidéo du deep web sur j’avais enregistrée. j’appréciais jusque là son sourire jusqu’à apprendre l’existence de sa petite amie. le seul problème avec tout ça c’est que ce n’était pas moi. où est-ce que j’avais échoué. est-ce que j’avais utilisé les mauvais mots ? j’ai essayé de le réorienter vers moi mais ces conversations là devenaient lassantes pour lui et agaçantes pour moi de le voir se lasser de moi. moi moi moi. j’aurais voulu qu’il n’y ait que moi. parce que j’étais la première à l’avoir vu, la première à lui avoir montré ce monde là. les messages anonymes bienveillants se sont transformés en message intrusif ; « pourquoi tu ne dors toujours pas ? » « les nouilles épicées ne sont pas si bon pour la santé » « tu me manques » tu me manques dix fois, vingt, trente, cinquante fois. et quand il aura changé de numéro de téléphone, je l’aurai retrouvé encore et encore. « qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour que tu m’aimes ? » « même si tu ne m’aimes pas je t’aime » lui faisant croire qu’il s’agissait d’areum. «  si je ne peux pas l’avoir que la folie le dévore, personne ne l’aura » je me suis dit ; que la folie le dévore jusqu’à ce qu’il oublie son propre nom et celui de celle qu’il aime. que la folie le dévore alors que mon autre main hypocrite tente d’apaiser ses maux. que la disgrâce frappe celui qui souhaite le malheur sur autrui. et l’infortune en effet m’a accueillie dans une étreinte imprévisible et étroite alors que l’été arrivait à sa fin. est-ce qu’il s’agissait du mois d’août ? cela n’a aucune importance. j’étais en colère ô une colère qui ne se justifie pas mais que je voulais rendre justifiable ce soir là alors que sa petite amie -yulhee- sortait de ses cours de ballet. j’avais fini par connaître par coeur son emploi du temps à elle également. au départ je n’avais pas l’intention de faire quoi que ce soit mais arrivées devant ces longues marches d’escaliers la tentation de la pousser était si forte, si forte que j’ai presque cédé. vêtue comme j’étais je n’étais pas reconnaissable de toutes façons. un pas en arrière ne m’aura pas éloigné de mes mauvaises intentions. je sens des mains m’attraper fermement et sans délicatesse. sieon qui me regarde avec surprise puis alors dans ses yeux il y a des comètes, de la colère quand les gants que je porte finissent par attirer son attention. il ne m’avait jamais regardé avec de la colère auparavant. de la colère qui se transforme en impatience alors que j’essaie de me justifier « non, je...- je pensais que c’était une autre personne » mais rien de tout ce que je dis n’arrive à le raisonner alors qu’il me dit de sortir mon portable. « pourquoi ? » je demande faussement offusquée. « yulhee, prends son portable » il murmure calmement, d'un calme déconcertant. dans un désespoir que je ne peux contenir je demande « sieon, qu’est-ce que tu fabriques ! » elle attrape d’une main tremblante mon premier portable, il secoue la tête, désignant du menton ma poche où il y a mon second portable qu’il « le code » il demande froidement. « sieon... tu me fais mal » je marmonne mais cela ne fait que l’impatienter d’avantage « donnes moi le putain de code ! » il ne m’avait jamais criée dessus. je le regarde les yeux écarquillés de surprise et fond en larmes. à défaut d’avoir de réponses de ma part il demande à yulhee d’appeler la police. il ne faut que quelques heures qui empiètent sur quelques jours pour qu’il ait la réponse à ses questions. mon portable a été perquisitionné, mon ordinateur portable aussi ce même soir. je suis restée dans ce commissariat sans prononcer le moindre mot, sachant pertinemment que tout allait être dévoilé. je n’ai plus revu sieon depuis le tribunal, il a évidemment décidé de porter plainte contre moi. je trouvais à ce moment là tout ça ridicule et surfait. il y avait du dégout dans ses yeux quand il me regardait, comme si... comme s’il s’agissait d’un crime que d’aimer quelqu’un aussi fort ; j’ai demandé au jury s’il s’agissait d’un crime et sieon m’a répondu que ce n’était pas de l’amour, que ça n’a jamais été de l’amour et rien de plus que de la folie. mais « tout ça je l’ai fait pour toi » je me souviens avoir crié « tout ça je ne l’ai fais pour personne d’autre que toi et tu me fais passer pour une folle ! regardes comment tu me tournes au ridicule !... » et alors que j’étais beaucoup trop occupée à essayer de prouver mon bon sens, ma peine était déjà décidée deux fois, une fois par le juge et une seconde fois par l’homme de ma vie qui me dit d’un calme dérangeant pour ma personne « regardes moi, regardes moi bien parce que c’est la dernière fois que tu me verras de toute ta misérable vie. tu vas moisir dans un hôpital où ils te gaveront de médocs qui vont te ramollir le cerveau et...- » il s’effondre en larmes. je le regarde parviens à sourire et lance alors m'approchant « mais toi tu ne m’oublieras pas pas vrai ? ne sois pas triste, je vivrai toujours quelque part dans ta mémoire et c’est suffisant pour moi d’exister de cette façon » je suis retenue et emportée par la sécurité mais crie toujours « ET MOI JE T’ENVERRAI TOUJOURS UN PEU PLUS DE LUMIERE ET D’AMOUR À CHAQUE FOIS JE PENSERAI À TOI  » c'est vrai. je n'ai plus entendu parler de lui après cet été là, même si 2019 est arrivé, même si un autre été est passé depuis, je n'ai plus entendu parler de lui. je ne sais pas comment il va ni ce qu'il fait de ses jours, ni s'il est toujours avec yulhee. mais je m'imagine des rêveries celestes avec lui, peint en or et à la couleur du ciel. elles ont un goût aussi sucré que mes pilules. on écoute tout ce qui nous plait et on oublie nos grandes peines. je suis pratiquement sûre que mon psychologue ne m'écoute plus vraiment quand je parle de sieon. il me parle de me concentrer sur autre chose. autre chose qui me rendrait heureuse. mais mon coeur accoure toujours vers lui dans mes rêveries. inutile de disperser les morceaux. je n'écoute pas les gens qui me disent que ce n'était pas de l'amour. qui sont ces gens pour évaluer la valeur des battements de mon coeur, cet amour que inspire et expire ? ils n'ont rien vécu de ce que j'ai vécu. ils n'ont rien ressenti de ce que j'ai ressenti. pour moi cela reste de l'amour pur. dès qu'il y a trop de choses cela est perçu comme un pêché mais il n'y a jamais trop d'amour. je me laisse emporter par un autre sommeil précipité par ces pilules vertes, peut être que les anges me parleront encore de lui, j'espère qu'ils me parleront de lui, je suis toujours curieuse d'en apprendre un peu plus à propos de lui. je ne peux pas braver cette bâtaille avec le sommeil, mes paupières s'embrassent à nouveau. j'espère à nouveau entendre parler de lui dans mes rêves.

questionnaire. comment avez-vous entendu parler de moriah creek ? ma mère m'en a parlé en pensant que cela me ferait du bien de quitter la corée pendant quelques temps ; se plaignant de me voir rester à la maison trop souvent. c'est même elle qui a payé le voyage tout entier, me poussant presque dans l'avion. que pensez-vous de la ville ? c'est beaucoup plus calme que seoul... moins de pollution aussi. que pensez-vous des habitants ? ce serait bien si certaines personnes la fermaient. je suis juste trop fatigué pour dire quoi que ce soit mais si je pouvais, je sortirai de mon mutisme pour leur dire de la fermer et que je ne m'appelle pas smith. la plupart ne sont pas si discret que ça et ce n'est pas comme si j'étais sourd. mais sinon il y a des personnes qui ont l'air sympathiques. que voulez-vous voir le plus ? nature et monuments. l'expérience prouve que le plus loin je suis des gens et le mieux je me porte. quelle est votre opinion sur le blog 'trucs bizarres' ? ça me fait rire, j'ai rarement autant rit depuis un long moment alors évidemment, c'est avec joie que je lis ces conneries. ce n'est pas comme si je manquais de temps ou que j'étais attendu quelque part de toutes façons quelle est votre plus grande peur ? les pièces plongées dans le noir, les objets tranchants ou contondant, le fait d'être coincé dans une pièce étroite, les femmes, le simple fait que quelqu'un ait de l'intérêt pour moi, les nouvelles rencontres, combinez tout ça et vous aurez j'imagine la réponse à votre question.

hors-jeu.

pseudo : fake tears for real bitches âge :    pronoms : bich, nicki minable,  avis sur le forum : zeer good, design zeer zeer good, people zeer zeer zeer cute my kokoro brokoro is attacked crédits : tumblr un dernier mot ?        

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Citation :

il y a des amours qui existent pour être conjugués au singulier uniquement.

Citation :

j’appréciais jusque là son sourire jusqu’à apprendre l’existence de sa petite amie. le seul problème avec tout ça c’est que ce n’était pas moi.

Citation :

« tu me manques » tu me manques dix fois, vingt, trente, cinquante fois.

Citation :

il y avait du dégout dans ses yeux quand il me regardait, comme si... comme s’il s’agissait d’un crime que d’aimer quelqu’un aussi fort

Citation :

«  si je ne peux pas l’avoir que la folie le dévore, personne ne l’aura » je me suis dit ; que la folie le dévore jusqu’à ce qu’il oublie son propre nom et celui de celle qu’il aime. que la folie le dévore alors que mon autre main hypocrite tente d’apaiser ses maux. que la disgrâce frappe celui qui souhaite le malheur sur autrui.

Citation :

« ET MOI JE T’ENVERRAI TOUJOURS UN PEU PLUS DE LUMIERE ET D’AMOUR À CHAQUE FOIS JE PENSERAI À TOI  »

félicitations, tu es officiellement un résident de moriah creek ! il est temps de poster ta fiche de liens ou, si tu es plus timide, de créer des pré-liens. les demandes sont là pour répondre au moindre de tes besoins ! tu peux également créer à ton personnage un téléphone, ainsi qu'un compte chirper et même instagraph. enfin, le flood et les jeux te sont grands ouverts pour te détendre et faire connaissance avec les autres membres. on espère que tu trouveras ta place parmi notre communauté, n'oublie pas que le staff est là pour toi si besoin